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Abstract: Guy Gaudreau À partir du cas du village de Villeray, sur l’île de Montréal, cette note cherche à démontrer que la vente conventionnelle des lots à bâtir, dûment consignée dans les bureaux d’enregistrement, ne constitue pas la seule forme d’accession à la propriété. Il existe une autre manière, qui est tout aussi légale, mais qui est passée sous le radar des historiens. Elle demeure difficile à retracer parce qu’elle s’appuie sur de ententes privées prenant la forme d’un contrat, la promesse de vente, qui définit les modalités de paiement du lot. Omniprésente à Villeray, cette promesse de vente a une durée variable, pouvant même, dans certains cas, prendre une dizaine d’années. Souvent, elle est transférée à une tierce personne afin d’éviter à son détenteur original de perdre les paiements déjà effectués. Si elle a permis à des petites gens d’accéder à la propriété, elle a aussi profité aux promoteurs immobiliers en accélérant la vente des lots et en les soustrayant aux paiements des taxes foncières puisque les titulaires des promesses devaient en assumer les coûts annuels.
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Abstract: Jean-Christophe Racette Durant la crise des années 1930, la qualité des logements montréalais se dégrade rapidement. Le gouvernement municipal doit donc étudier la question de la salubrité des logements et tenter de trouver des solutions pour résoudre ce problème. La Commission du logement salubre est alors créée afin d’enquêter sur les taudis montréalais et de proposer des plans de rénovation urbaine. Cette commission se met à la recherche des meilleures pratiques internationales en matière d’intervention sur les logements. À travers des voyages d’études, la recension d’articles de journaux et des correspondances entre fonctionnaires, la Ville de Montréal s’intègre alors dans un vaste réseau d’échanges de connaissances et de savoir-faire. La compétition intermunicipale étant très forte, cet aspect des relations entre les villes prendra une importance capitale dans la façon dont Montréal abordera les problèmes liés aux taudis et dans la façon dont elle tentera de les résoudre.
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Abstract: Linda Mahood Les dollars des touristes étaient devenus une nécessité pour de nombreuses personnes après la Deuxième Guerre mondiale. Par contre, peu d’entre elles, au cours des étés de 1968 et de 1969, auraient manqué de voir les centaines de baby-boomers, sans le sou par choix, qui faisaient du pouce pour leur « voyage estival annuel ». Les autorités municipales commencèrent à recevoir des plaintes au sujet des « jeunes débraillés » qui quêtaient et qui dormaient à la belle étoile dans les villes et villages qui longeaient la Transcanadienne. Le tourisme, désiré ou non, a la capacité de créer des conflits entre voyageurs et résidents. En 1970, des auberges de jeunesse financées par le gouvernement fédéral sont devenues le point focal du besoin du gouvernement libéral de Trudeau de gérer le chômage chez les jeunes ainsi que le radicalisme sur les campus universitaires. Cet article met l’accent sur les voyages des jeunes vers Vancouver et la réponse des Vancouvérois à la National Hostel Task Force, laquelle a entraîné une occupation des lieux (sit-ins) ainsi que des conflits entre la police et les jeunes et entre les jeunes eux-mêmes, ce qui a culminé dans la « Bataille de Jericho ». À l’aide de récits contemporains des journaux universitaires et quotidiens, de rapports de la police de la Ville de Vancouver, des dossiers de renseignements de la GRC et des activités à la University of British Columbia, cet article soutient que le manque de compréhension des divers besoins des jeunes canadiens a transformé le tourisme des jeunes en un problème de jeunes vagabonds au cours de l’été 1970.
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