A  B  C  D  E  F  G  H  I  J  K  L  M  N  O  P  Q  R  S  T  U  V  W  X  Y  Z  

  Subjects -> SOCIOLOGY (Total: 553 journals)
The end of the list has been reached or no journals were found for your choice.
Similar Journals
Journal Cover
Ethnologies
Number of Followers: 4  
 
  Full-text available via subscription Subscription journal
ISSN (Print) 1481-5974 - ISSN (Online) 1708-0401
Published by Érudit Homepage  [139 journals]
  • Pernocter. Petit voyage dans les esthétiques et imaginaires de la
           nuit

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Luc Gwiazdzinski
       
  • Pernocter.A Short Journey through the Aesthetics and Imaginaries of the
           Night

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Luc Gwiazdzinski
       
  • Introduction: Nocturnal Ethnographies: Aesthetics and Imaginaries of the
           Night

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Eleonora Diamanti et Alexandrine Boudreault-Fournier
       
  • Introduction : ethnographies nocturnes : esthétiques et
           imaginaires de la nuit

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Eleonora Diamanti et Alexandrine Boudreault-Fournier
       
  • Gathering up the Social: Nightlife Columns in the African-American Press

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Will Straw
      Dans les années 1920, la rubrique moderne sur la « vie nocturne » est devenue une composante régulière des journaux métropolitains aux États-Unis et dans d’autres pays. Cet article se penche sur les colonnes sur la vie nocturne dans la presse afro-américaine. Son objet central est la couverture de la nuit urbaine dans l’Inter-State Tattler, périodique hebdomadaire publié à Harlem entre 1922 et 1932. Il suggère que, dans la presse afro-américaine plus généralement, à cette période, on voit émerger de nombreuses variétés de la colonne de la vie nocturne. Cette émergence est particulièrement évidente dans l’écriture de la journaliste Geraldyn Dismond, dont les écrits sont le centre d’attention de cet article.
       
  • Virtual Dance Communities and the Right to the Internet

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Rebecca Krisel
      La pandémie mondiale de COVID-19 a forcé la plupart des lieux de vie nocturne à fermer leurs portes en mars 2020, entraînant une perte d’emploi pour les employés de nuit et les pigistes ainsi qu’une perte de revenus pour la ville. Avec la fermeture des boîtes de nuit, les danseurs sociaux qui alimentent cette partie de l’économie nocturne ont perdu l’accès aux espaces où ils dansent avec d’autres qui partagent leurs goûts musicaux. Pourtant, les semis peuvent pousser même sur un territoire brûlé. Face à ces défis pandémiques, la scène de la musique dance s’est réinventée, passant d’une performance en personne existante à une performance entièrement virtuelle. Cette réimagination de la vie nocturne renvoie à un élément clé de la résilience de la danse sociale nocturne : la communauté. Ces soirées de danse virtuelles sont nées et ont perpétué des communautés de danse qui ont remplacé, et dans certains cas redéfini, les expériences que les communautés de danse appréciaient auparavant dans des lieux en personne. Cet article explore ce monde de la danse virtuelle. Grâce à des conversations avec des propriétaires de salles, des interprètes et des danseurs sociaux, ainsi qu’à travers une ethnographie numérique des soirées de danse virtuelles et de leurs pages de médias sociaux correspondantes, cette étude questionne si et comment les soirées de danse virtuelles reproduisent le sens de la communauté vécu dans la danse en personne, et interroge ce que signifie l’avènement des soirées dansantes virtuelles pour l’avenir de la vie nocturne urbaine. S’appuyant sur l’idée que la danse sociale est un droit à la ville (Krisel 2020; voir aussi Harvey 2008; Lefebvre 1996), cette étude explore également comment la danse sociale peut aussi être un droit à Internet et explore le parallèle entre l’urbain et Internet. environnements comme lieux où les sous-cultures peuvent former des communautés et co-créer des espaces physiques et virtuels.
       
  • Chiller et autres faits ordinaires : les jeunes, la nuit à
           Montréal

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Sarah-Maude Cossette, Mélissa Moriceau, Amani Braa, Chloé Couvy, Noah Oder, Nathalie Boucher et Valérie Amiraux
      Six parcs, près de 500 heures d’observation, plus de 60 entrevues, une question: que font les jeunes de 16 à 25 ans, la nuit, à Montréal' Alors qu’elle se place en opposition à la vie civilisée et légitime du jour, la nuit se définit sous deux angles: d’une part comme un moment d’insécurité, de vulnérabilité accentuées pour certain-es, de l’autre comme un moment de liberté et d’explorations festives. Alors que Montréal entame une réflexion sur la gouvernance nocturne et au regard des exemples européens où la nuit est déjà bien investie par un encadrement misant sur la marchandisation de l’hyperactivité nocturne, nos données récoltées à l’été 2020 révèlent une troisième dimension de la nuit; celle où les jeunes vivent des activités nocturnes ordinaires, axées sur l’expérience sensorielle de l’accalmie, la recherche d’intimité (entre soi, en territoire connu) et de liberté (être soi-même, en-dehors des contraintes et exigences diurnes).
       
  • Nocturnal Imaginaries: Rethinking and Redesigning the City After Dark

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Nick Dunn
      Comment les expériences multisensorielles et l’esthétique des lieux nocturnes nous permettent-elles de réimaginer ce que pourraient être ces environnements' De plus, comment ceux qui habitent la nuit urbaine par leur travail s’engagent-ils dans son esthétique et développent-ils des connaissances sur des géographies spécifiques' Cet article s’appuie sur un travail de terrain autoethnographique en cours, y compris des rencontres et des échanges avec une gamme de travailleurs de nuit et de praticiens créatifs basés dans la ville de Manchester, au Royaume-Uni, pour explorer les enchevêtrements entre la lumière et l’obscurité, le travail et le répit, la créativité et le lieu. Cet article propose que comprendre comment les paysages nocturnes sont utilisés différemment par différentes personnes est précieux pour façonner leur évolution. Ceci est d’une importance cruciale si nous voulons développer des connaissances plus larges et plus profondes de la nature située, relationnelle et pratiquée de la ville après la tombée de la nuit, et être en mesure de la repenser et de la revendiquer comme un temps et un lieu qui tiennent compte de l’accessibilité et de l’équité.
       
  • “Cover the Fire” or Live in the Dusk

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Derek Pardue
      Informé par un récent travail de terrain avec la « jeunesse musulmane » à Aarhus, au Danemark, les migrants ouest-africains à Lisbonne, au Portugal et les expériences personnelles de mobilité dans les deux villes, je déploie le crépuscule en tant qu’épistémologie sensorielle et la fiction comme méthodologie esthétique complémentaire alors que je tente d’écrire le la ville (créativement) dans l’urbain (critique). Les incursions dans la fiction sont pertinentes, car c’est par l’imagination et la créativité de l’expression textuelle que beaucoup trouvent leur voix et sortent de la routine (quotidienne) face à la nuit. Les images-textes présentées ne sont pas conçues comme des moments forts mais comme des suggestions provocatrices du banal nocturne en termes de présences urbaines, de frontières et de relations homme-environnement. La prémisse fondamentale est que la différence du crépuscule n’est pas une perte ou nécessairement un déclin, mais plutôt une force génératrice de sens et d’appartenance.
       
  • Night Drawing: Re-writing Darkness in the Nocturnal Land/Cityscape

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Chantal Meng
      Le night drawing est une action qui défie les habitudes perceptives, une expérience incarnée aux limites du visible. La gestion de la lumière pendant la nuit est un problème urgent pour diverses raisons sociales et culturelles et touche au contexte plus large du changement climatique anthropique. Cet article traite d’une part des conditions d’éclairage dans la nuit urbaine, et des formes de cognition par le dessin d’autre part. En ce qui concerne la lumière artificielle pendant la nuit, les principales préoccupations sont la sécurité, la pollution lumineuse et la perte d’obscurité. Cependant, le fait que l’obscurité soit également causée et comprise par la lumière artificielle est un phénomène rarement discuté. Le night drawing vise à renégocier des hypothèses de longue date sur les avantages de l’éclairage urbain nocturne. Cette approche se situe en porte-à-faux avec l’idée que la brillance est nécessairement mieux, et réécrit la physionomie des paysages terrestres/urbains nocturnes. Le night drawing est une approche critique et innovante, une pratique en tant que méthode permettant d’accorder plus d’attention au pouvoir de représentation de la lumière pendant la nuit. Il vise une nouvelle technique du voir, de même qu’un réexamen et une nouvelle conception de l’obscurité urbaine.
       
  • Nocturnal Experiments on Worthless Bodies: Gothic Poetics in Friedrich
           Engels’ Ethnography of Night Work

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Jayson Althofer
      La condition de la classe ouvrière en Angleterre (1845) de Friedrich Engels constitue une ethnographie multisensorielle pionnière du système de l’usine. Sa critique de la révolution industrielle de la lumière pour une production 24/7 a traduit un imaginaire gothique contemporain de la nuit. Dans The Philosophy of Manufactures (1835), Andrew Ure répudie un médecin qui condamnait les effets du travail de nuit sur les enfants des usines – « si la lumière est niée aux têtards, ils ne deviennent jamais des grenouilles » – en rétorquant que « le nombre et l’éclat des lampes à gaz dans une filature de coton » allaient à l’encontre des enfants qui travaillaient « à l’état de têtard ». Évacuant la pensée d’Ure comme un fantasme aveuglant, Engels a révélé « le vampirisme de la classe des propriétaires » transperçant les travailleurs de nuit avec « une lumière très puissante... la plus nuisible à la vue ». Il a brillamment anticipé la démonstration de Karl Marx dans Le Capital (1867), selon laquelle la révolution industrielle, qui implique l’adoption rapide par le capital des nouvelles technologies d’éclairage, s’est produite « aux dépens des travailleurs. C’étaient de véritables expériences in corpore vili, comme celles des vivisecteurs sur les grenouilles ».
       
  • Ceci n’est pas un incendie : atrophie de gestes funéraires
           pyrotechniques dans l’archipel de Hong Kong

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Marie Lecuyer
      À la tombée de la nuit dans l’archipel de Hong Kong, une écologie de spectres – tantôt fantômes (gui 鬼), ancêtres et dieux – se manifestent à la lueur de brasiers allumés en leur mémoire. Cette écologie de spectres et les gestes de soin pyrotechniques qui l’animent, tendent à disparaître sous la pression de l’urbanisation et de campagnes écologiques. Dans cet article, je m’attarde sur ce et ceux que l’extinction de ces feux risque de faire disparaître. Je propose de considérer que ce qui disparait est moins un certain obscurantisme – tel que les campagnes d’éducation du gouvernement, promouvant des enterrements et funérailles écologiques le laissent suggérer – mais davantage un rapport à la nuit, au feu, au récit. Ce qui vient à disparaître en même tant que ces feux, c’est une perspective, celle des morts, qui confronte les vivants à leur propre finitude et devenirs post mortem.
       
  • Singing the Night: Lullabies as Reflexive Practice in Music and
           Peacebuilding

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Lauren Levesque
      Cet article explore le chant des berceuses comme une pratique qui ouvre des espaces pour réfléchir sur « la nuit » en tant qu’expérience sonore et sensorielle ayant des implications pour la recherche en musique et la consolidation de la paix. À l’aide d’approches artistiques et autoethnographiques, je pose la question suivante : chanter des berceuses (Juvancic 2010) peut-il ouvrir un espace pour examiner comment le fait de sonner la nuit façonne l’imaginaire de « la paix » d’une chercheuse' Cette question vise à élargir la compréhension du « soi » en tant que site d’une « esthétique de la résistance » (Möller 2020), ou la notion selon laquelle la réflexion et l’action individuelles soutiennent l’engagement social dans la musique et la recherche sur la consolidation de la paix. Ces compréhensions peuvent contribuer à des conversations interdisciplinaires sur l’autoréflexivité et la performance en tant que points d’accès ethnographiques aux imaginaires de paix dans les études nocturnes.
       
  • Listening at Night: Toward an Ethnography of So(m)niferous Media

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Josh Dittrich
      S’appuyant sur une recherche ethnographique menée auprès d’étudiants de premier cycle sur leurs pratiques d’écoute et de sommeil, cet essai développe un concept de « médias so(m)nifères » pour décrire comment les auditeurs/dormeurs utilisent les médias audio pour (re)médier leur expérience de la nuit. L’essai décrit les principales affinités théoriques et pratiques entre le sommeil et l’écoute, en adoptant une approche socioculturelle du sommeil éclairée par un travail critique dans les études du son et des médias. Le sommeil est repensé comme une expérience d’écoute inconsciente et à médiation sonore qui participe de manière ambivalente à la logique de marchandisation 24/7 décrite par Jonathan Crary et d’autres. Une découverte inattendue du travail ethnographique est que de nombreux dormeurs évitent délibérément les produits médiatiques sonores évidents pour dormir (par exemple, les listes de lecture et les podcasts de sommeil, les machines à bruit, les sons « naturels », les battements binauraux, etc.) et recherchent plutôt un contenu de médias sociaux qui attire l’attention. Plutôt que de s’endormir, les auditeurs semblent vouloir engager pleinement leur attention, tout en la fermant paradoxalement en même temps. Les médias so(m)nifères semblent ainsi travailler directement sur l’attention de l’auditeur, et non sur l’ambiance acoustique de l’espace de couchage.
       
  • (Not) Surviving the Night: A Nocturnal Ethnography of the Hospital
           Corridor

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Fiona Davies
      Bien que traditionnellement considéré comme l’un des nombreux espaces nocturnes liminaux au sein des complexes souvent labyrinthiques des hôpitaux contemporains, le couloir n’est pas assigné à des activités spécifiques, des règles de conduite ou des codes vestimentaires. Au lieu de cela, en particulier la nuit, ils deviennent des lieux intermédiaires d’ambiguïté et d’ambivalence. En tant que membre de la famille d’un patient des soins intensifs, on vous demande souvent de sortir pendant que le personnel médical entreprend une procédure. Cela peut arriver à n’importe quelle heure de la nuit. Dans les premières heures après minuit, la famille peut être laissée à errer dans les couloirs sombres, guidée par la lueur des distributeurs automatiques, tous enfermés et en toute sécurité à l’intérieur du bâtiment bien que pourtant hors de l’USI. Cette expérience de la temporalité nocturne liminale, en dépassant ce que l’on attend d’être en transition, peut s’attarder pour devenir semi-permanente, et donc altérer la perception de la transition de la vie à la mort pour qu’elle puisse sembler suspendue, bloquée ou sans fin.
       
  • The Aesthetics and Imaginaries of the Night in Cuba: Bridging Audiovisual
           Ethnography and Film Studies

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Eleonora Diamanti et Alexandrine Boudreault-Fournier
       
  • Esthétiques et imaginaires de la nuit à Cuba : faire le pont entre
           l’ethnographie audiovisuelle et les études cinématographiques

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Eleonora Diamanti et Alexandrine Boudreault-Fournier
       
  • L’ambivalence et le paradoxe de l’exil dans
           l’écriture de Milan Kundera

    • Free pre-print version: Loading...

      Abstract: Jin Wan
      En référence à la réflexion sur l’exil proposée par Edward Saïd et Tzvetan Todorov, nous nous concentrons sur l’ambivalence et le paradoxe de l’exil dans l’écriture de Milan Kundera : les rapports ambigus et compliqués entre l’exil et l’écriture, et les thèmes conjoints tels que la patrie, l’identité, la langue dans ses essais comme dans ses romans. L’exil est perçu comme souffrance et comme champ de fécondité pour l’écrivain tiraillé entre deux patries, deux cultures et deux langues. Correspondant au nomadisme, au pluralisme et à l’esprit d’aventure de l’écrivain, l’exil se transforme ainsi en point positif. Si l’exil soulève inévitablement la question identitaire en lien avec les langues, la patrie, le passé et la mémoire, il métaphorise aussi le destin humain moderne caractérisé par le déracinement et l’instabilité. Sous l’ambiguïté identitaire, l’homme se met à la recherche du vrai chez-soi qu’est l’art, la patrie littéraire. L’écriture de l’exil représente une expression des angoisses identitaires devant les mutations, mais aussi le besoin de dépassement. Correspondant à l’aspiration de l’écrivain à la liberté et à l’éternité en créant des oeuvres résistant à la force du temps, l’art devient la patrie, la littérature, un vrai chez-soi. L’ambivalance de l’exil est un reflet du paradoxe de l’homme qui connaît une reconstruction identitaire, culturelle et axiologique perpétuellement renouvelée. L’écriture de l’exil est un reflet de son parcours visant à trouver le point d’équilibre d’une existence entre la fluidité et l’immutabilité, entre la déconstruction et la reconstruction.
       
 
JournalTOCs
School of Mathematical and Computer Sciences
Heriot-Watt University
Edinburgh, EH14 4AS, UK
Email: journaltocs@hw.ac.uk
Tel: +00 44 (0)131 4513762
 


Your IP address: 34.229.131.158
 
Home (Search)
API
About JournalTOCs
News (blog, publications)
JournalTOCs on Twitter   JournalTOCs on Facebook

JournalTOCs © 2009-