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Criminologie
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ISSN (Print) 0316-0041 - ISSN (Online) 1492-1367
Published by Érudit Homepage  [139 journals]
  • Introduction : les impacts de la COVID-19 sur les populations
           

    • Abstract: Bastien Quirion et Virginie Gautron
       
  • COVID-19, usages de drogues et réduction des risques : analyse croisée
           des expériences et de l’impact de la pandémie en France
           et au Québec

    • Abstract: Marie Jauffret-Roustide et Karine Bertrand
      Les personnes utilisatrices de substances qui fréquentent les services d’addictologie et de réduction des risques font partie des publics en situation de précarité dont les vulnérabilités sont aggravées en temps de pandémie. Notre article étudie l’expérience de la pandémie par ces personnes et l’impact de celle-ci sur les pratiques professionnelles et l’action publique, comme productrice d’inégalités mais aussi d’innovations et de solidarités. La collecte de données a été réalisée en France et au Québec, incluant des entretiens semi-directifs auprès de personnes usagères de substances (France, n = 25 ; Québec, n = 15) et de professionnels en addictologie et réduction des risques (France, n = 25 ; Québec, n = 18). Une approche théorique pragmatiste a été mise en oeuvre et analyse les niveaux macro et micro ensemble et de manière réflexive. Dès le premier confinement, les dispositifs professionnels ont tenté au mieux d’organiser une continuité de services afin de répondre aux besoins des usagers dans un contexte d’urgence sanitaire : par le déploiement de l’accès à l’hébergement, le développement de la téléconsultation afin d’assurer la continuité des soins. Des innovations ont été réalisées par des collaborations entre acteurs sur l’hébergement ou sur l’inclusion accélérée de la réduction des risques (alcool et approvisionnement sécuritaire) dans les centres d’hébergement. Des difficultés ont été également observées en lien avec des contraintes organisationnelles. Les usagers se sont bien approprié les mesures de prévention. Ils ont subi des logiques de contrôle social dans les champs sanitaire et répressif. Au-delà des vulnérabilités apportées par la COVID-19, des adaptations peuvent également constituer des opportunités de création de solidarités entre usagers et professionnels, des espaces favorables aux innovations professionnelles, et des nouveaux modes de collaboration et d’organisation entre acteurs.
       
  • Confinés en prison : l’expérience carcérale au
           temps de la COVID-19

    • Abstract: Lara Mahi, Léo Farcy-Callon et Vincent Rubio
      Durant la pandémie de COVID-19, des mesures exceptionnelles restreignant les libertés ont été appliquées avec pour mot d’ordre : « Restez chez vous ! » Si la prison est devenue métaphore du confinement, peu de choses sont connues sur la façon dont la période a été vécue par les personnes détenues. À partir d’une enquête sociologique réalisée dans cinq prisons françaises durant la pandémie (2020-2021), associant observations et entretiens, cet article interroge les effets des politiques de confinement sur l’expérience carcérale. Nous montrons que l’altération ou la suspension des principales « activités » dans lesquelles les détenus sont tenus de s’impliquer durant l’incarcération (l’école et la formation professionnelle, le travail, les soins), et dont l’engagement est récompensé en temps ordinaire par des réductions et des aménagements de peine, a exacerbé l’un des paradoxes majeurs d’une institution enjoignant son public à l’« activité » tout en le contraignant à l’immobilité. Nous soutenons qu’au-delà d’un quotidien bouleversé, c’est le sens même de la peine de prison, construite autour du thème de la « réinsertion », qui a été troublé dans une institution à l’arrêt et une société confinée.
       
  • La COVID-19 : « une seconde prison » : l’expérience de personnes
           âgées judiciarisées

    • Abstract: Valérie Aubut, Mathieu Goyette et Chantal Plourde
      La proportion de personnes âgées judiciarisées (PAJ) de 50 ans et plus est en constante augmentation dans les établissements carcéraux. Environ 80 % d’entre elles éprouvent des difficultés sur le plan de leur santé physique et de leur bien-être psychologique et social. L’ensemble de ces difficultés complexifie leur processus de réintégration sociocommunautaire. Or, le contexte de pandémie amène des défis supplémentaires. Cette étude qualitative descriptive aborde l’expérience vécue en regard de la COVID-19 de PAJ en incarcération et son influence perçue sur leur réintégration sociocommunautaire. Des entrevues en profondeur semi-dirigées ont été menées auprès de 22 participants âgés de 50 à 73 ans. L’analyse thématique a permis de mieux comprendre les dimensions du processus de réintégration sociocommunautaire ayant été modulées par la COVID-19 à travers deux périodes charnières du processus, soit lors de l’incarcération et lors du retour en communauté. L’influence de la crise sanitaire sur le processus de retour en société a été plus importante à ses débuts qu’un an plus tard. Les résultats mettent en lumière le manque de cohérence entre les mesures sociosanitaires et les objectifs de réintégration sociocommunautaire.
       
  • Gestion punitive de l’itinérance durant la pandémie : défis et
           stratégies des intervenant·e·s de première ligne à Montréal

    • Abstract: Marianne Quirouette, Karl Beaulieu et Nicolas Spallanzani-Sarrasin
      Les personnes en situation d’itinérance (PSI) qui tentent de (sur)vivre dans les espaces publics vivent une judiciarisation accrue ainsi qu’un contrôle punitif qui se manifestent aussi dans les espaces de soins. Les intervenant·e·s de première ligne, dans les refuges ou dans la rue, ont des contacts fréquents avec la police. Les pratiques de profilage social et de contrôle punitif exercées sont largement documentées, mais des lacunes subsistent quant aux impacts de la pandémie de COVID-19 pour les intervenant·e·s et leurs usager·ère·s. Notre article rend compte d’une étude de cas menée à Montréal, fondée sur 43 entrevues semi-structurées portant sur les constats d’infraction liés aux mesures sanitaires, les campements et les agent·e·s de sécurité dans les refuges. En nous inspirant de la criminologie des crises ainsi que des études sur la gestion de l’itinérance, nous analysons les défis et les stratégies que les travailleur·euse·s de première ligne utilisent pour résister aux approches punitives. Notre étude aide à clarifier les conséquences de la gouvernance des espaces publics et de services durant la pandémie pour les intervenant·e·s et leurs usager·ère·s. Elle participe à une meilleure compréhension de la violence juridique, du contrôle punitif et de l’exclusion des populations marginalisées, tout en portant une attention particulière à la résilience du milieu communautaire et des intervenant·e·s de première ligne.
       
  • La pandémie de COVID-19, le prisonnier et le juge : étude des recours
           exercés par les personnes incarcérées en France pendant la crise
           sanitaire

    • Abstract: Nicolas Klausser, Gaëtan Cliquennois, Christine Burkhardt, Stefano Cannepele, Daniel Fink et Annie Kensey
      Cet article porte sur une analyse des recours exercés par les personnes détenues en établissement pénitentiaire en France visant à contester leurs conditions de détention pendant la crise sanitaire. Grâce à un accès à la base de données Ariane archives du Conseil d’État, 117 décisions rendues par les tribunaux administratifs, les cours administratives d’appel et le Conseil d’État ont pu être recueillies. L’analyse de ces décisions met en évidence la faible concrétisation du droit à la santé des personnes détenues pendant la crise sanitaire, ainsi que les lacunes du contrôle juridictionnel exercé, le juge administratif ne prononçant quasiment jamais de mesures pour contrôler effectivement les conditions de détention, et s’en tenant aux allégations de l’administration. Ces constats viennent conforter les deux hypothèses retenues : la gestion de la COVID-19 en prison est paradigmatique des contradictions inhérentes au droit à la santé en milieu carcéral d’une part, et son contrôle révèle une hiérarchisation entre individus selon leur statut d’autre part.
       
  • Accès à la justice dans les tribunaux criminels en temps de crise
           de COVID-19 : le recours aux tribunaux virtuels

    • Abstract: Brendyn Johnson et Chloé Leclerc
      Au Canada, la pandémie de COVID-19 a forcé la fermeture sans précédent des tribunaux. La solution du gouvernement ontarien a été de mener les procédures judiciaires virtuellement. Longtemps présentée comme un moyen d’élargir l’accès à la justice, certains craignent que l’utilisation des technologies audiovisuelles ne réduise en fait l’accès à la justice à certains égards. Cette recherche s’intéresse à la migration vers un environnement virtuel pendant la pandémie et à ses impacts sur l’accès à la justice, conçu ici comme la capacité des justiciables à accéder aux tribunaux et à leurs avocats. La recherche repose sur des méthodes ethnographiques dans les tribunaux criminels de l’Ontario qui combinent observations et entrevues auprès de juges et d’avocats. Les résultats révèlent que bien que le passage en mode virtuel ait pu contribuer à un meilleur accès aux tribunaux pour une majorité de justiciables, il a aussi pu compliquer l’accès pour les justiciables vivant en région éloignée, ceux qui ne sont pas représentés par un avocat ou ceux qui sont incarcérés. L’article aborde ces enjeux avant de discuter de l’avenir de ces technologies dans les tribunaux dans une ère post-pandémie.
       
  • Enjeux de gestion dans les organisations policières en période
           de pandémie

    • Abstract: Andrée-Ann Deschênes, Annie Gendron, Rémi Boivin et Charles-Antoine Rioux
      La pandémie a posé des défis importants aux institutions de sécurité publique. Les organisations policières ont dû rapidement faire preuve d’adaptation et de mobilisation, considérant le rôle que les policiers ont été appelés à endosser dans cette lutte contre la pandémie. Dans une perspective descriptive et compréhensive, la présente recherche a exploré les enjeux de gestion au sein des organisations policières dans les premiers mois de la pandémie. Une méthodologie qualitative a été privilégiée afin de répondre à cet objectif. Des entrevues semi-dirigées ont été réalisées auprès de 8 policières et de 26 policiers oeuvrant dans différentes régions de la province de Québec. Parmi eux, 15 occupaient la fonction de patrouilleur, 9 étaient reliés à des unités d’enquête et 10 ont déclaré occuper une fonction de supervision. La méthode de réduction du matériel a été guidée par les techniques propres à l’analyse de contenu thématique. Les principaux résultats mettent en lumière des enjeux de gestion sur le plan communicationnel (p. ex., évolution rapide des directives à transmettre pour l’application des règles de santé publique), des ressources humaines (p. ex., imposer des équipes fixes pour diminuer les contacts entre employés) et de la logistique (p. ex., réaffectation des fonctions), de la clarté des directives découlant des mesures de la Santé publique (p. ex., mise en application des cas d’exception) et de la formation des gestionnaires (p. ex., manque de connaissances sur les enjeux de santé publique). Les implications de cette étude ajoutent aux connaissances sur la compréhension des enjeux de gestion dans les organisations policières en temps de pandémie et notent une série de leçons à retenir sur le plan pratique.
       
  • Collaborer en contexte de COVID-19 : point de vue d’intervenants
           oeuvrant auprès de personnes judiciarisées sur les obstacles qu’ils
           ont rencontrés

    • Abstract: Sylvie Hamel, Bastien Quirion et Natacha Brunelle
      Cet article se penche sur les réponses de 81 intervenants québécois oeuvrant auprès de personnes judiciarisées âgées de 16 à 35 ans à propos des défis que pose la crise sanitaire en matière de collaboration intra et interorganisationnelle. Ces intervenants, affiliés à diverses agences des milieux institutionnels et communautaires, ont rempli, entre novembre 2020 et juin 2021, un questionnaire portant notamment sur les effets de la crise pandémique sur leur capacité à travailler en collaboration. Les résultats de cette enquête montrent comment les conséquences de cette crise sont venues affecter la dimension organisationnelle de la collaboration intra et interorganisationnelle et encore davantage, sa dimension interactionnelle. En d’autres mots, ces résultats révèlent combien les relations humaines constituent un élément fondamental à la collaboration, tant celles que les intervenants développent entre eux que celles qu’ils développent avec leur clientèle. Au final, cet article porte à réfléchir sur les conditions essentielles à la collaboration ainsi que sur les attentes que l’on fait peser sur elle en faveur d’une meilleure intégration des services et d’un accompagnement mieux adapté à la complexité des trajectoires des personnes judiciarisées.
       
  • Analyse sociotechnique des applications de traçage de la COVID-19 :
           protection de la vie privée et matérialisation de la méfiance envers
           l’État

    • Abstract: Simon Hogue
      Le 6 octobre 2020, à l’instar d’une quarantaine d’États, Québec donna son feu vert à une application de traçage des contacts basée sur une technologie d’Apple et Google pour combattre la COVID-19. Les applications de traçage soulèvent toutefois plusieurs enjeux liés aux droits démocratiques et à la justice sociale, aux premiers chefs la protection de la vie privée et l’équité face à une technologie à laquelle tous n’ont pas accès. Or, comment cet objet est-il devenu un objet de convergence dans l’utilisation de la surveillance numérique ' L’argument développé ici suggère que l’adoption en masse masque des dynamiques de pouvoir entre les développeurs, la société civile, les autorités de santé publique et les gouvernements sur le design des technologies utilisées dans la gestion de la pandémie. Apple, Google et leurs partisans ont réussi à normaliser une technologie qui matérialise une méfiance envers l’État. Cette analyse éclaire les dynamiques de pouvoir derrière la promotion des outils techniques dans la lutte contre la COVID-19 et les angles morts générés par la primauté de la protection de la vie privée.
       
  • Inonder l’espace médiatique, contester le manque de transparence de
           l’État : l’importance de la criminologie de l’actualité en temps
           de pandémie

    • Abstract: Justin Piché et Kevin Walby
      Il y a eu des différences importantes concernant la divulgation proactive des cas de coronavirus, parmi les prisonniers et le personnel pénitentiaire, entre les juridictions canadiennes au cours des deux premières années de la pandémie COVID-19. S’appuyant sur la littérature sur la police des connaissances criminologiques et l’opacité des prisons, cet article aborde comment de multiples approches de la criminologie de l’actualité (« newsmaking criminology »), sous la forme d’articles de blogues, de rédaction d’éditoriaux, de publication de rapports et de commentaires d’experts, peuvent aider à remettre en question le manque de transparence de l’État afin de générer une divulgation proactive d’informations supplémentaires sur l’impact et la gestion du coronavirus derrière les murs de la prison. Nous explorons comment l’approche « inonder l’espace » des débats publics sur la gestion de la pandémie avec les informations limitées et incomplètes mises à disposition par les autorités fonctionne comme une stratégie de mobilisation des connaissances et de recherche pour faciliter la diffusion d’informations précédemment non publiées qui sont essentielles pour éclairer les politiques, les pratiques et les résultats de l’enfermement. Ce faisant, nous soulignons la valeur de la criminologie de l’actualité non seulement comme moyen de communiquer et de mobiliser les connaissances criminologiques, mais aussi de les générer au service de la recherche émancipatrice et militante.
       
  • « Je ne suis pas anti-vaccin, mais cette affaire de COVID-19 pue la
           merde » : la fabrique du discours des opposants aux mesures sanitaires
           dans la twittosphère canadienne

    • Abstract: Samuel Tanner et Aurélie Campana
      Cet article porte sur le rôle des plateformes de médias sociaux (Twitter en particulier) dans la fabrique et la diffusion du discours opposé aux mesures sanitaires dans la province du Québec, durant les premiers jours de la pandémie de COVID-19, en 2020. Fondé sur une approche matérialiste et issue de la théorie de l’acteur-réseau, il analyse les récits opposés aux mesures sanitaires qui ont circulé dans la twittosphère québécoise durant les deux premières semaines d’application des mesures restrictives imposées par les autorités fédérale et provinciale. En particulier, nous montrons que la fabrique et la diffusion d’un discours opposé à ces mesures aboutissent à un syncrétisme idéologique aux contours flous qui contribue à banaliser les idées traditionnellement associées au conspirationnisme et qui visent les élites scientifiques et politiques canadiennes. L’étude, tant du discours que du dispositif qui le promeut, montre par ailleurs qu’il permet à des individus situés à la marge de la sphère publique de se transformer en influenceurs populaires, techno-entrepreneurs moraux, qui deviennent les figures de proue d’une mouvance opposée aux mesures sanitaires.
       
  • Variables associées à la reprise du pouvoir des femmes sur leur
           sécurité en contexte de violence conjugale

    • Abstract: Isabelle Côté, Joël Gagnon, Dominique Damant et Simon Lapierre
      S’appuyant sur les résultats d’une recherche exploratoire menée sur un échantillon de 189 femmes recevant des services en maisons d’hébergement au Québec, cet article s’intéresse aux variables associées à la reprise du pouvoir des femmes sur leur sécurité en contexte de violence conjugale. Plus précisément, une analyse de classification révèle la présence de deux sous-groupes de participantes qui diffèrent quant à leur niveau de reprise du pouvoir sur leur sécurité (RPS) : RPS élevé (n = 114) et RPS faible (n = 75). Chacun des groupes se distingue de l’autre sur une série de variables : l’estime de soi, le sentiment d’auto-efficacité et de satisfaction de vie, la perception de soutien social et la détresse psychologique. Ces résultats soulèvent des pistes intéressantes pour la recherche et la pratique de l’intervention sociale auprès des femmes victimes de violence conjugale, qui sont abordées dans l’article.
       
  • Chaque âge a ses vertus, comme il a ses défauts : biais liés à
           l’âge dans la prédiction du risque de récidive criminelle au sein du
           Level of Service and Case Management Inventory

    • Abstract: Julien Frechette et Patrick Lussier
      Malgré la panoplie d’études axées sur la valeur prédictive du Level of Service and Case Management Inventory (LS/CMI), peu de chercheurs se sont penchés spécifiquement sur les biais de cet outil. Pour cette raison, l’âge, une information qui n’est pas utilisée dans le calcul actuariel du LS/CMI, mais qui est jugée incontournable par plusieurs chercheurs pour évaluer et prédire le risque de récidive criminelle des personnes contrevenantes, a été l’objet d’analyses approfondies. Autrement dit, la présente étude propose d’examiner les profils de personnes contrevenantes ayant fait l’objet d’une erreur de prédiction quant à la récidive criminelle par le LS/CMI, et ce, à partir de l’âge et de facteurs interagissant avec celui-ci ne figurant pas dans l’outil. Pour ce faire, des analyses d’arbres décisionnels auprès d’un large échantillon de détenus et de probationnaires québécois (n = 9 807) ont été effectuées. Les résultats suggèrent que l’erreur de prédiction n’est pas aléatoire et que les personnes plus âgées, particulièrement celles ayant été condamnées pour un crime sexuel ou pour un crime lié aux drogues, sont plus susceptibles d’en être l’objet. Tout porte à croire que ces observations seraient largement tributaires du processus d’actuarialisation des outils qui favorise l’utilisation de prédicteurs de la récidive pertinents seulement pour un sous-groupe relativement homogène et important de jeunes adultes.
       
 
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School of Mathematical and Computer Sciences
Heriot-Watt University
Edinburgh, EH14 4AS, UK
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